Stranger Things, la série qui fait revivre les années 80

La série Stranger Things se déroule à Hawkings, une petite ville fictive des États-Unis, dans les années quatre-vingt. C’est l’histoire d’une bande de quatre copains d’une douzaine d’années, Mike, Will, Lucas et Dustin adeptes du jeu de rôle Donjons et Dragons. Un soir, après une partie chez Mike, Will rentre chez lui et se fait attaquer par une créature dans l’abri du jardin.

Le lendemain, sa mère Joyce Byers, bouleversée par la disparition de son fils, contacte le shérif Hopper afin qu’il l’aide à retrouver Will. Malgré tous ses efforts, Hopper n’obtient aucun résultat. Joyce est convaincue qu’il est en vie quelque part et qu’il essaye de communiquer avec elle. Hopper est sceptique au début, mais se rend compte par la suite que Joyce à raison. Il part alors sur une nouvelle piste.

Nous découvrons également un laboratoire top secret qui utilise des enfants capables de psychokinésie (déplacement d’objets par la pensée) et qui peuvent, avec leur esprit, entrer dans une autre dimension. Lors d’une expérience, une de ces enfants ayant le chiffre onze tatoué sur son poignet, ouvre par accident un portail vers ce monde parallèle. Un monstre s’en échappe et se retrouve dans notre réalité. La jeune fille réussit à s’enfuir du laboratoire et rencontre Mike, Lucas et Dustin qui sont aussi à la recherche de Will. Onze leur explique que ce dernier est dans une autre dimension qu’ils appelleront le monde à l’envers. Ils apprennent que le monstre, qu’ils surnomment Demogorgon, a capturé Will.

Nous sommes vite absorbés par cette série pleine de suspens et de mystères qui rend hommage aux films de science-fiction et d’horreur des années quatre-vingt. J’adore cette période qui me rend nostalgique du bon vieux temps, même si j’étais un petit bébé à cette époque. J’apprécie également la bande originale qui présente des sonorités typiques de ces années-là et les chansons présentes font la part belle à cette décennie : The Clash, Toto, The Police, Scorpions ou Metallica.

La série est fortement influencée par Steven Spielberg et Stephen King et certaines scènes peuvent faire sursauter les âmes sensibles.

Les acteurs sont excellents, surtout les enfants qui sont très drôles et authentiques. Cette série ne manque pas d’humour, il y a des moments très marrants. La première saison est vraiment géniale et cela s’améliore encore dans la deuxième.