Deuxième partie : les handicaps moteurs et sensoriels
Dans le cadre de la campagne « UNIGE sans obstacles », deux journées de sensibilisation au handicap ont été organisées les 8 et 9 avril 2025 à Uni Mail par l’Université de Genève.
La seconde journée était dédiée aux handicaps moteurs et sensoriels.
Les représentants des associations invitées ont décrit leurs actions et partagé leurs objectifs avec l’équipe de Synergies mag. Plusieurs témoignages du public ont également été recueillis.
Sarah Reichler, assistante de direction et responsable événementiel, fait découvrir les missions de la Fondation. Elle évoque notamment le quiz de sensibilisation ainsi que les ateliers immersifs proposés par la Fondation.
Handi-basket
Artan Mulici pratique ce sport depuis plus de 20 ans. Il partage son expérience autour du handi-basket.
Le public a également pu s’initier à la pratique du handi-basket.
Activité de la vie quotidienne
Brillant Randrianasolo, aide-soignant à la résidence Gabrielle Sabet, décrit un atelier centré sur les gestes du quotidien.
Cet atelier a permis au public de se mettre dans la peau d’une personne en situation de handicap. L’objectif est d’expérimenter les difficultés rencontrées dans des tâches simples. Par exemple, éplucher une pomme avec une seule main et un seul œil s’avère être un véritable défi.
Le quiz
Phi Huynh Do, résidente à Yamani, Coralie Drewniak, animatrice à la résidence Yamani et Yulia Dutson, assistante administrative à la direction générale, reviennent sur cette activité à la fois ludique et pédagogique.
Les visiteurs ont ainsi pu tester leurs connaissances sur différentes thématiques liées au handicap.
Ursula Javorksi, directrice, explique le fonctionnement de l’association, tandis que Carlos Meneses détaille l’atelier proposé.
Ce parcours immersif permet de se confronter aux obstacles rencontrés par une personne en situation de handicap visuel dans un lieu inconnu. Les participants ont ainsi pu prendre conscience de ces difficultés et réaliser que tout est possible, avec les bons outils.
Erika Camila Lang-Willar, étudiante à l’Université de Genève, anime un atelier interactif autour de la communication non verbale.
Les participants, munis de bouchons d’oreilles et de casques antibruit, ont dû utiliser des pictogrammes et des gestes pour se faire comprendre, ils se sont ainsi plongés dans la réalité des personnes sourdes ou malentendantes.
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