
« Je suis atteinte de la maladie des os de verre depuis ma naissance.
Vu ma petite taille de un mètre, tous les jours et tous les soirs, je suis à la hauteur des derrières, des postérieurs, des fesses de toutes formes et de toutes tailles.Que ce soit sur mon lieu de vie, au travail ou à l’extérieur, je suis obligée de les contempler.
Parfois, je ne me sens pas très à l’aise vis-à-vis de la personne. Alors j’évite d’être trop près d’elle.
Mais ce n’est pas toujours facile de l’éviter, surtout dans les endroits publics.
Je pourrais utiliser la fonction « Lift » de mon fauteuil qui me permet de prendre de la hauteur. Mais ce n’est pas agréable pour rouler. De plus, j’ai assez le vertige
Ça me donne l’occasion d’admirer une grande variété de fessiers. Mais pas de chance pour moi, la majorité est féminine !!! »