Mon premier séjour en Arménie

En juillet 2016, nous sommes partis en famille deux semaines à Yerevan, la capitale de l’Arménie, mon pays d’origine. C’est la toute première fois que je m’y rends. Je suis content d’y aller enfin car mes parents m’en ont beaucoup parlé.

C’était un vol de nuit d’une durée d’environ cinq heures avec une escale à Vienne, en Autriche. Nous sommes arrivés à quatre heures du matin à destination. Je n’ai pas pu fermer l’œil, tellement j’étais impatient.

Mes parents avaient loué un appartement spacieux avec des lits confortables. Je me suis endormi dès que j’ai posé ma tête sur l’oreiller car j’étais fatigué.

Yerevan est une ville accessible pour les personnes à mobilité réduite. Les rues sont propres et la circulation est fluide, il y a peu d’embouteillages. La population est sympathique.

La nourriture est excellente, en particulier le kebab, plat à base de viande d’agneau ou de bœuf. Il a fait très chaud, environ 40 degrés à l’ombre et j’avais tout le temps soif.

Les jours suivants, j’ai visité le pays. J’ai pu admirer au loin le Mont Ararat, un volcan qui culmine à 5165 mètres d’altitude où la neige est éternelle. Cela m’a fait plaisir de le voir en vrai, après tout ce que mon père m’a raconté à son sujet.

J’ai aussi été me balader en bateau sur le lac Sevan, j’ai admiré le paysage et pris de belles photos.

Un soir, nous sommes allés voir un spectacle de danse typiquement arménien.

Je n’avais jamais été à ce genre de représentation et j’étais content de m’y être rendu. Les musiques arméniennes sont très rythmées et cela m’a donné envie de taper avec mes mains sur mes cuisses.

De temps en temps, nous sommes allés boire un verre sur une terrasse proche de l’appartement.

La veille du départ, je n’ai pas pu beaucoup dormir car nous devions prendre l’avion très tôt le matin.

La visite de l’Arménie, mon pays d’origine, m’a apporté beaucoup de joie et cela m’a fait très plaisir de le découvrir. Mon cœur battait fort le jour du départ, je me réjouissais de prendre l’avion, même si j’étais un peu triste de revenir à Genève.