
Ma famille et moi sommes partis en Arménie, notre pays d’origine, du 24 juillet au 4 août 2018, pour nos vacances.
Le 24 juillet au matin, nous avons pris l’avion pour Yerevan, avec une escale à Vienne, en Autriche.
Là-bas, nous avons mangé un très bon kebab et visité la ville jusqu’au soir avant de prendre le second avion pour Erevan.
La durée totale des vols a été de 7h45 minutes.
Une fois sur place, un véhicule est venu nous chercher pour nous amener à Djermouk, une ville située au sud-est de l’Arménie, pas loin du lac Sevan, que nous souhaitions découvrir située à 173 km de la capitale.
Le temps du trajet en taxi a été de 3 h. Quand nous sommes arrivés, nous avons souhaité prendre du repos, car le voyage était long et fatiguant, de plus, il y a un décalage horaire de 2 heures.
Contrairement à Genève, en Arménie la circulation était fluide et les voitures roulaient prudemment.
La nourriture arménienne est excellente. J’ai apprécié entre autres la moutabal, un plat à base de purée d’aubergines.
À mon arrivée à Djermouk, la météo était variable. Cela ne m’a pas empêché de visiter cette ville magnifique. J’ai apprécié les jolis parcs bien entretenus.
Nous sommes allés voir les chutes de Djermouk. L’eau coulait en cascade sur les rochers, c’était d’une grande beauté.
Au début de notre séjour, nous sommes restés à Djermouk.
Au programme, nous avions des séances de massage avec une huile douce et cela m’a fait du bien.
Le soir, nous avons fait des balades dans les environs de la ville.
Le 1er août, nous sommes revenus à Yerevan, où nous sommes restés jusqu’au 4 août.
Nous avons profité de la piscine de l’hôtel de la capitale pour nous divertir.
Là-bas, la météo était très estivale. Les soirs, ma famille et moi sommes allés au restaurant manger de bons petits plats, car je suis gourmand.
L’avant-dernier jour, nous avons joui des dernières heures pour nous baigner dans le bassin de l’établissement.
Dans la nuit du 3 au 4 août, nous n’avons pas beaucoup dormi, car l’avion partait très tôt.
J’ai eu énormément de plaisir à être retourné en Arménie. Le jour du départ, je me réjouissais de prendre l’avion. J’aime ce moyen de transport qui me permet d’admirer les paysages d’en haut. Je ressens une sensation de liberté.